Maison de Boromir

Je me leva pour ma première journée à Minas Tirith.
J'alla en direction du balcon et regarda l'horizon.
Ce vaste paysage me donna envie de partir en Rohan.

A ce moment un homme arriva avec une missive venant du Rohan.
Je l'ouvrit et à ma grande surprise je lut que Eomer avait beoin d'aide.

Ce voyage sera long mais plein de surprises.

Je descendis les étages de la cité en compagnie de mon cheval"Ardos".

La porte de la cité blanche était ouverte et l'animation de la rue principale de Minas Tirith allait de son bon train. C'est alors que les gardes des portes de Minas Tirith apercurent au loin le fils de Dénéthor sur son cheval en train de descendre l'artère principale de la capitale du Gondor.

Ils se regardèrent les uns les autres puis, dans un mouvement rapide et bien orchestré, se rangèrent en ligne droite, de façon à saluer le fils de l'intendant lors de son éventuel passage. Le capitaine de la troupe n'avait pas eu besoin de rappeller les hommes à l'ordre, ils avaient réagit promptement, comme tout gardien de la tour blanche qui se respecte. l'ordre, la discipline et la rigueur était respecté

HRP:(le jeu est meilleur avec un maitre du jeu)
Je les salua d'une main et continua de descendre en direction d'un endroit peuplé où je pourrai peut-être rencontré quelqu'un qui serai daccord de m'accompagner.

Le capitaine de la garde répondit discrètement au geste de Boromir par un hochement de la tête, puis les hommes reprirent leur position de garde. Un d'entre eux monta au dessus de la porte afin de scruter l'horizon. Une caravane de voyageurs ou de marchands arriva sur les entrefaits au niveau de la porte, créant pas mal d'agitation.

Aaaah voilà du monde!
Je regarda un peu partout pour voir si je ne voyais pas un aventurier en quète de voyage.

Je continua d'avancer,mais dut descendre de mon cheval à cause de l'impossibilité de le diriger dans ces rues étroites ou se tassait des marchands.

La caravane de marchands entra dans la cité blanche sous le controle vigilant des gardes. Ils venaient de Pélargir, le grand port cotier du Gondor qui alimentait Minas Tirith régulièrement en produits frais et variés. C'est alors que que Faramir accompagné D'Acmis d'Erech (un des généraux de l'armée de Dénéthor) firent également leur entrée. Sans doute rentrait il de mission, à moins qu'ils accompagnaient la caravane, c'est du moins ce qui traversa l'esprit du garde de la porte, qui les salua bien bas lors de leur passage.

Je salua poliment le général qui était avec mon frère et alla en direction de Farramir.
Farramir!
Alors que faisais-tu tout ce temps?
Je lui mis ma main sur l'épaule en signe de complicité.

Faramir entendit une voix familière et sentit sur son épaule le contact d'une main ferme qu'il connaissait bien.

Il se retourna et vit son frère ainé, Boromir, le premier capitaine du Gondor et le futur intendant du royaume. Boromir était à pied et tenait dans ses mains les rènes de son cheval. Il y avait foule à l'entrée de la cité et les marchands qui y entraient s'agitaient. Les gardes controlaient une et à une les marchandises et les récriminations habituelles des marchands fusaient de toutes part, la routine en sorte car demain était jour de marché dans la cité.

Faramir: "Bonjour mon frère, je suis heureux de te voir içi aux portes de la cité. Tu auras reconnu Acmis d'Erech qui arrive avec moi de Pélargir. Notre père nous avait envoyé la bas en mission de reconnaissance. Il y avait quelques troubles dans la cité et nous devons de suite lui faire notre rapport. Est ce que notre père est toujours aussi contrarié? Lorsque je l'ai quitté, il y a un mois, il était particulièrement soucieux et son front était plissé par les soucis et les mauvaises nouvelles".

Acmis d'Erech ne dit rien et se contenta de saluer Boromir. Il était beaucoup plus agé que les deux frères et beaucoup plus endurcit à l'artt de la guerre qu'eux. Il n'avait qu'une hâte, rencontrer son maitre et lui donner les nouvelles du port qui était bien mauvaise, puis retrouver sa famille et les siens.

Moi j'étais en train de partir vers la caserne chercher quelques hommes.
Les nouvelles ne sont pas mauvaises seulement en Pelargir.
Le Rohan à besoin d'aide,mais il peut attendre que tu ailles amener ton message à Denethor.
Enfait je voulais te demander de m'accompagner en Rohan.

Faramir regarda gravement son frère et ne répondit pas tout de suite à l'interpellation de Boromir.

Faramir: "J'entend ce que tu dis mon frère mais je dois rencontrer de suite notre père car le message que je dois lui donner ne peux attendre et tu connais dans quel fureur il se mettrait si je m'attardais en chemin. Je te propose que nous nous retrouvions ce soir, dans la taverne du second niveau; Nous pourrons alors échanger et trinquer ensemble. Si nous devons aller en Rohan, je te suivrais avec joie mon frère! Mais sache que notre père doit pour celà donner son accord et de sa volonté nous dépendons entièrement. Es tu d'accord pour que nous retoruvions ce soir? Réponds moi car je dois y aller et déjà Acmis s'impatiente de nos bavardages".

Acmis ne s'impatientait pas, au contraire, il souriait de voir les deux frères parler et une telle amitié entre eux lui faisait chaud au coeur.

Je regarda Faramir et lui répondit:
A ce soir alors,parle-en à Denethor en passant.
Moi je dois aller chercher les hommes dans la caserne pour qu'ils se préparent.Si nous le pouvons,nous partirons demain matin au lever du soleil. Nous partirons en direction de Amon-Hen et nous finirons par Edoras en ne comptant pas les arrets de nuit bien sur.
Je fit signe de main à Faramir et descendit en direction de la caserne.

Faramir quitta à regret son frère et partit en haut de la cité, dans le palais, pour s'entretenir avec son père et lui faire le rapport de sa mission. Il fut reçu froidement par Dénethor, comme à son habitude. La situation de Pélargir se fragilisait à cause des incursions incessantes des pirates d'Umbar. Le commerce déclinait et la ville était inquiète. Dénéthor se contenta d'enregistrer ces informations et renvoya Faramir, juste en partant il l'interpella:

Dénéthor: "Ton frère Boromir souhaite se rendre à Edoras rencontrer nos alliés du Rohan. Il est bon que le frère de l'héritier du Gondor se fasse aussi connnaitre de nos amis éleveurs de chevaux. Tu l'accompagneras et tu executeras ses ordres car il est ton ainé et a plus d'expérience que toi. Tel est ma volonté, tu peux disparaitre à présent".

Faramir quitta son père attristé: il ne reçu pas un mot de tendresse, pas un remerciement et nul réconfort. Depuis la mort de leur mère, Dénéthor était devenu un monarque froid et distant, même avec ses enfants, sauf avec Boromir qui était son fils préféré.

Un peu plus tard Faramir descendit au deuxième niveau de la cité et entra dans l'auberge dans laquelle il avait donné rendez vous à son frère. Il commanda deux chopes de bière et s'installa à une table, attendant son frère ainé.

Boromir arriva un peu en retard car il avait du aller préparer les hommes à partir.
Il vit Farramir assis à une table et le rejoint.
Boromir:Désolé por le retard mon frère mais les hommes n'étaient pas pret à partir.Alors qu'a dit Denethor par rapport à mon voyage en Rohan?
Mais il me faut savoir aussi si la route est sur j'usqu'à Edoras.

HRP/ FARAMIR avec un R STP.

Faramir vit son frère arriver et s'asseoir à sa table. Il lui tendit la chope qu'il avait commandé pour lui dans l'entretemps.

Faramir: "Comme d'habitude Père à été froid et distant. Il est glacial et n'a même pas demandé de mes nouvelles. Il est au courant de ton désir d'aller à Edoras et ne s'y oppose pas. Il m'a demandé de t'accompagner en me mettant sous tes ordres, il pense que ce serait bien que je connaisse mieux le Rohan et son roi".

Faramir but un coup et reprit la parole:

Faramir: "Ecoutes mon vieux, moi j'arrive de Pélargir et j'en ai plein le dos. Puisque tu es le capitaine de cette expédition c'est à toi de monter l'affaire et de l'organiser. J'arrive du bord de mer et je n'ai aucune idée de ce qui se passe dans les terres."

Je comprends,tout est déjà organisé,mais j'en sais pas beaucoup de se qui se passe en Rohan.

Je bu une gorgée et repris

Le silence entre le Rohan et le Gondor est mauvais.
J'ai l'impression que Denethor à oublié que Theoden était notre allié.
C'est pour quoi nous nous rendons en Rohan.
Je me lève.

Bon à demain nous partirons en matinée car les routes sont sures.
Fait un signe de main à Faramir.

J'ai un mauvais presseniment pour ce voyage.
Espèrons que c'est seulement mon imagination.

Faramir vit son frère partir. Ces dernières paroles le remplissaient de craintes et de doutes. Se pouvait il que la route entre Minas Tirith et Edoras ne soit plus libre?

Faramir termina son bière et alla régler le tavernier.

*Comme d'habitude la note est pour moi.....*

Faramir sortit à son tour dans les rues de Minas Tirith et descendit vers la ville basse. L'air était frais et celà faisait longtemps qu'il n'avait pas trainé dans les rues de la cité blanche. Il y avait peu d'animation dans les rues. il alla alors vers les portes de la cité et salua le capitaine de la garde qui le reconnu de suite.

Faramir: "Bonsoir, j'avais envie de monter sur les remparts afin d'admirer la plaine, celà fait longtemps que j'ai quitté la cité..."

Capitaine de la garde: "je vous en prie monseigneur..."

Faramir monta sur les remparts et huma l'air ambiant. Au dessus de lui la voute des étoiles scintillait et la lune montait son quart. Il se retourna et admira la tour blanche, magique, superbe, resplendissante. l'émotion s'empara de lui: il était de nouveau chez lui et cette cité comptait plus que tout dans son coeur. Il quitta alors les remparts pour rejoindre le palais et se reposer. Sa journée avait été dense et l'entretien avec son père l'avait secoué...comme il aurait voulu aller retrouver sa mère et avoir une personne a qui se confier. pensif et perdu dans ses pensés, Faramir regagna ses quartiers et s'effondra sur son lit, épuisé..

Le lendemain matin...
Boromir se réveille et comme prévu va chercher Faramir.

Hmm...je devrais le laisser dormir le temps que les hommes soient pret.
Oui je vais le laisser encore dormir.

Je me demande si les hommes m'attendent.

Boromir:Ah sergent rappelez les hommes c'est le grand jour,nous partons pour Edoras.

Sergent:Oui capitaine!
Soldat!
Rassemblement!

Les hommes come à leur habitude était parfaitement ordonné et se rassemblèrent devant le sergent et moi en ligne parfaite.

Boromir:Aujourd'hui comme prévu nous partons pour Edoras e Rohan,mettez-vous à cheval,de mon côté je vais chercher Faramir.
Je retourna chercher Faramir et à sa porte toca.

Faramir passa une nuit sans reve. Il se reveilla le matin. Il engoufra rapidement son petit déjeuner pui se prépara pour son grand voyage avec Boromir. Celà lui faisait plaisir de se retrouver avec son frère ainé loin des griffes de son père. C'est alors qu'il entendit frapper à sa porte, il se douta que celà devait être son frère mais n'en n'était pas tout à fait certain.

Faramir: "si c'est toi Boromir entre, je suis presque pret"

J'entendit la voix de Faramir et entra.

Bonjour Faramir,je vois que tu es quasiment pret.
Bien,car nous partons tout de suite!
Ah et j'oubliais,hier tu as payé l'addition pour moi,tien prends ces pièces pour te rembourser ma bière.

J'avais en main 5 pièce que je donna à Faramir.

Nous pouvons y aller.

Faramir sourit lorsqu'il vit son frère lui rembourser sa bière. Boromir était comme celà: impulsif, déterminé mais généreux. Faramir suivit son frère ainé. Le voyage qu'il comptait faire était important, l'alliance entre le Rohan et le Gondor était plus que nécessaire dans la lutte contre les forces du mal, qui semblaient hélas, prendre de la force et de la puissance au fur et à mesure du temps.

La blanche cité des intendants était resplendissante. Le soleil brillait de tout ses feux et les drapeaux du Gondor, avec en leur coeur l'arbre blanc, claquaient dans le vent. Au loin le grand fleuve s'écoulait paisiblement et on appercevait dans un coude du fleuve les ruines d'Osgiliath.

Boromir regarda une dernière fois la cité dans le soleil matinale et se retourna face à leur chemin,face à leur destiné,et la destiné de la Terre du Millieu.

La troupe prit le chemin du Pélenor et progressivement la cité blanche s'effaca progressivement de l'Horizon. Faramir chevauchait en tête du cortège avec son frère Boromir. La journée était belle et tout semblait calme et paisible.

Les hommes qui les accompagnait formait le corps d'élite des gardes de la cité. Ils étaient en armure d'apparat et leur allure était belle et fière. L'arbre blanc, le symbole du Gondor brillait sur le métal; peut d'homme et d'orcs en ce monde pouvait soutenir dans un combat leur assaut, sauf à être en surnombre ce qui arrivait de plus en plus fréquemment.

Après quelque jours de voyage sans poblême ils décidèrent de passer la nuit sur la rive Ouest de Amon Hen.

"Passons la nuit ici,nous avons la rivière à coté nous nous réaprovisionnerons en eau demain avant de partir...
Nous trouverons surement quelquechose à chasser par ici."

Je regarda le ciel mauve devenant de plus en plus foncé,le cri des loups dans la foret accompagnait le chant du ruisseau allant toutjours vers le Rohan,pays des seigneurs des chevaux...

Ainsi se passa le voyage des deux frères et princes du Gondor jusqu'aux frontières du Rohan: un voyage sans encombre et pour tout dire une sympathique promenade. Faramir appréciait les qualités de chef de son frères ainés qui était un capitaine sur et bienveillant avec ses hommes et la troupe.

Ils avaient bien entendu le hurlement de quelues loup dans la nuit, mais rien de grave et d'étonnant, les feux des campements tenaient éloignés ses créatures du campement des chevaliers de Minas Tirith.

Enfin le jour tant attendu arriva: il foulaient les plaines vertes et fleuries du Rohan. L'espace était vaste et immense et les montagnes semblaient désormais bien lointaines...L'herbe couraient parmis les prairies et le vent frais balayait le paysage d'une fraicheur vivifiante. Le Rohan était là et s'offrait à eux: ils étaient à une journée de checal d'edoras, la capitale éternelle du Gondor et l'alliée fidèles des intendants du Gondor...

Faramir: "et bien mon frère, nous avons quitté désormais nos terres et nous sommes dans le pays des éleveurs de chevaux, espérons que leur acceuil sera à la hauteur de ce qu'il fut de par le passé".[i]

Boromir scruta un moment l'horizon et répondit à son frère:
"Espérons...
Le voyage a été long et je m'en voudrait de veniren Rohan comme un vieil ennemi oublié...
Peut-être que je m'imagine des choses mais... j'ai un mauvais préssentiment...
Fais attention à toi cela fait longtemps que nous avons foulé la terre du Rohan....

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